Interviews / Tony Partisani, Vestiaire Collective

L’IA juridique pour scale-up : ce que Vestiaire Collective cherchait, Logan l’a fait

Entretien avec Tony Partisani,

Juriste en propriété intellectuelle, Spécialiste de la lutte anti-contrefaçon – Vestiaire Collective

La plateforme plébiscitée par les meilleurs professionnels du droit

Secteur

Mode & Luxe | Tech | E-commerce

Départements

Direction juridique | Propriété intellectuelle | IT / Digital / Produits

Fonctionnalités

Juriste spécialisé en propriété intellectuelle et en lutte anti-contrefaçon, Tony Partisani occupe le poste de Senior Legal Counsel IP/IT & Anti-counterfeiting chez Vestiaire Collective, la scale-up française devenue référence mondiale dans la vente de mode de seconde main. Au croisement de la tech, du luxe et du droit, Tony Partisani gère une volumétrie importante de contrats complexes (partenariats avec des marques, événements, cessions de droits, modération de contenus) dans un environnement international et exigeant.

Avec une équipe juridique resserrée, des enjeux de réactivité, de traçabilité et de collaboration transverse, Tony Partisani s’est rapidement intéressé à l’outil Logan pour sa capacité à accélérer la gestion contractuelle, tout en restant simple, structuré, et compatible avec les besoins opérationnels des directions juridiques d’entreprise.

Dans ce témoignage, il partage ce qui l’a convaincu lors de la démonstration, les cas d’usage concrets dans son quotidien, et sa vision d’un outil métier vraiment pensé pour les scale-ups.

Un quotidien juridique rythmé, entre contrats, coordination et rapidité d’exécution

Chez Vestiaire Collective, le service juridique n’est pas un département isolé. Il est intégré à la stratégie produit, aux opérations marketing et aux relations avec les marques. Tony Partisani intervient ainsi sur de nombreux contrats :

• Cessions de droits d’auteur liées aux contenus produits en interne,

• Partenariats avec des marques de luxe,

• Evénementiel,

• Contrats digitaux et IT,

• Conditions d’utilisation, etc.

« On a beaucoup de contrats à gérer et à classer. Avec une équipe réduite, il faut qu’on puisse retrouver un contrat facilement, le générer facilement et l’éditer aussi facilement. »

Dans ce contexte, où chaque minute compte, un outil comme Logan attire l’attention de Tony Partisani pour sa capacité à fluidifier les tâches contractuelles tout en restant pragmatique et intuitif à l’usage.

Une interface pensée pour les juristes : intuitive, fluide, sans fioritures

Ce qui a immédiatement retenu l’attention de Tony Partisani lors de la démonstration de Logan, ce n’est pas uniquement la puissance de l’outil, mais la simplicité avec laquelle il se prend en main. Dans un environnement comme le sien – tech-first, exigeant, rapide – les outils complexes ou surchargés sont vite mis de côté. Or, Logan a su marquer des points dès les premières minutes :

« Ce qui m’a marqué, c’est l’interface intuitive et fluide. Les onglets sont facilement accessibles, l’overview de la base contractuelle est clair. Et les couleurs ne sont pas agressives, c’est un détail, mais dans notre quotidien, ça compte. »

Un autre atout souligné par Tony : le chatbot intégré, qui permet d’ajouter à tout moment un document ou une clause depuis la bibliothèque, sans interrompre le processus de rédaction.

« Le chatbot permet d’aller chercher d’autres documents et de les intégrer directement dans le contrat en cours. C’est hyper fluide. »

Gagner du temps là où ça compte vraiment : génération et édition de contrats

Au sein d’une direction juridique réduite mais exposée à de nombreux enjeux, chaque minute gagnée sur la rédaction est précieuse. Pour Tony Partisani, Logan apporte justement cette efficacité, sans sacrifier la qualité juridique :

« Je pense que c’est la génération qui est rapide, et surtout l’édition de contrat avec des outils assez intuitifs qui fait qu’on gagne un temps considérable. »

Il souligne également la simplicité de l’interface pour modifier, ajuster ou collaborer sur un document, sans dépendre d’outils externes :

« Les clauses sont complètes. Si on veut retirer ou retrancher des éléments, c’est facile. Si on veut taguer un collaborateur, c’est pareil, c’est facile. C’est même peut-être plus simple que sur des applications type pack Office. »

Un retour très concret, qui montre comment Logan s’intègre dans la réalité opérationnelle d’une scale-up juridique comme Vestiaire Collective.

Une plateforme contractuelle pensée pour les juristes… et les enjeux métier

Quand on lui demande de résumer Logan, Tony Partisani va droit au but :

« C’est une plateforme de gestion contractuelle améliorée par l’IA, qui permet de générer des contrats facilement, des modèles, et des clauses bien rédigées appuyées sur de la jurisprudence existante et à jour. »

Tony Partisani, Juriste en propriété intellectuelle, Spécialiste de la lutte anti-contrefaçon – Vestiaire Collective

Ce qu’il apprécie : la combinaison d’un socle juridique solide, d’une personnalisation facile, et d’une interface tournée vers l’action. Le tout, sans perdre de vue l’essentiel : soulager les juristes pour leur permettre de mieux se concentrer sur les priorités du business.

Une solution qu’il recommanderait à toute direction juridique exposée

Interrogé sur l’intérêt d’une solution comme Logan pour d’autres juristes d’entreprise, sa réponse est claire :

« Oui, je pense que c’est des solutions qui sont innovantes et qui méritent d’être exploitées. Il faut s’en servir absolument en direction juridique, surtout quand on a des enjeux de temps et d’énergie très forts. »

L’avis de Tony est sans appel : dans un contexte où les directions juridiques doivent faire toujours plus avec des moyens contraints, Logan offre un levier de productivité crédible et adapté au quotidien métier.

Chez Vestiaire Collective, les enjeux juridiques sont aussi rapides que les cycles d’innovation. Pour Tony Partisani, Logan coche les cases essentielles d’un bon outil métier : gain de temps, prise en main intuitive, intégration fluide dans les workflows contractuels d’une scale-up. Son retour montre qu’une solution d’IA juridique peut vraiment devenir un allié stratégique des directions juridiques, à condition d’être conçue pour leur réalité opérationnelle.