Clients / Sacha Ghozlan, ISKA

Logan, l’allié des jeunes cabinets pour alléger la charge documentaire et structurer le contentieux

Entretien avec Sacha Ghozlan,

Avocat en droit des affaires et droit pénal des affaires. Fondateur du réseau ISKA.

Ancien président de l’UEJF.

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Secteur

Cabinets d’avocats | Pénal & Affaires 

Départements

Contentieux & pénal des affaires | Affaires publiques | Droit de la presse & e-réputation

Fonctionnalités

Smart Import | Variables & clauses dynamiques | Éditeur collaboratif | Bibliothèque de modèles personnalisables

Avocat au barreau de Paris, Sacha Ghozlan incarne une nouvelle génération de professionnels du droit : engagée, polyvalente, ancrée dans les enjeux contemporains. Fondateur du réseau ISKA, il exerce à la croisée du droit pénal, du contentieux d’affaires et du droit des médias, avec une attention particulière aux libertés publiques et à la régulation du numérique. Son profil mêle une solide formation en droit des affaires et en nouvelles technologies à une expérience associative marquée, notamment en tant qu’ancien président de l’UEJF.

Dans sa pratique quotidienne, il accompagne des dirigeants, des associations, des élus ou des syndicats dans des dossiers complexes, à forte exposition médiatique ou symbolique. Pour autant, comme tout avocat en structuration de cabinet, il doit composer avec une réalité opérationnelle : des tâches juridiques récurrentes, chronophages, à faible valeur ajoutée, mais incontournables.

C’est à ce niveau que Logan prend tout son sens. Ni effet de mode, ni révolution abstraite, l’IA générative proposée par Logan s’intègre dans un raisonnement métier clair : automatiser l’édition d’actes simples, pour mieux concentrer l’intelligence humaine là où elle est attendue.

« Ce qui m’a intéressé, c’est la capacité de Logan à générer et éditer rapidement des actes juridiques simples, comme des contrats, pour gagner du temps sur ce qui est le moins stratégique. »

Sacha Ghozlan, Avocat en droit des affaires et droit pénal des affaires — ISKA

Dans les premières années d’exercice, les jeunes cabinets d’avocats font face à une double exigence : délivrer un travail rigoureux sur des dossiers de plus en plus complexes, tout en absorbant une charge documentaire lourde, souvent répétitive. Entre édition de contrats simples, relecture de clauses récurrentes et production de pièces procédurales, le risque est grand de s’éloigner du cœur de la valeur ajoutée de l’avocat : l’analyse, la stratégie, la défense.

Engagé sur des dossiers sensibles, mêlant souvent contentieux, droit pénal et enjeux publics, Me Ghozlan fait partie de cette génération d’avocats qui ne voit pas l’IA comme un bouleversement, mais comme un levier de productivité raisonné, capable de fluidifier la charge de travail et de renforcer l’efficacité du cabinet.

Cibler les tâches à faible valeur ajoutée pour recentrer la pratique

Pour un avocat en cabinet indépendant ou en phase de structuration, chaque heure compte — et chaque tâche doit être évaluée non seulement en termes de rigueur, mais aussi de retour sur implication. Si la rédaction d’un contrat standardisé, l’édition d’un modèle-type ou la mise à jour de mentions récurrentes font partie du quotidien, elles mobilisent souvent un temps disproportionné par rapport à leur poids stratégique dans un dossier.

C’est précisément à ce niveau que Sacha Ghozlan identifie la force de Logan : une capacité à traiter ces actes juridiques simples de façon rapide, fiable et personnalisable. Loin de viser les tâches d’analyse ou de plaidoirie, Logan automatise la production des contenus juridiques à faible enjeu intellectuel, mais indispensables dans la vie d’un cabinet.

« Je pense que sur la génération de contenu, notamment sur des actes juridiques qui sont assez génériques, on peut gagner du temps en utilisant l’IA générative. »

armi les fonctionnalités qui l’ont convaincu, Me Ghozlan cite notamment la gestion des variables, qui permet de répercuter automatiquement certaines données dans l’ensemble d’un document (noms, montants, dates, qualifications…). Une logique d’édition intelligente qui évite les oublis, accélère la cohérence formelle, et réduit les frictions dans le travail de production.

« Typiquement, la fonctionnalité de Logan qui permet, en utilisant les variables, de répercuter des éléments à différents endroits d’un contrat… c’est un vrai gain de temps. »

Cette approche pragmatique, centrée sur les gains opérationnels réels, reflète une posture de plus en plus présente chez les jeunes avocats : ne pas opposer innovation et rigueur, mais chercher des outils qui respectent la logique du métier tout en facilitant son exécution.

Une intégration progressive, mais inévitable, dans la pratique des cabinets

Pour Sacha Ghozlan, l’usage d’une IA générative comme Logan n’est pas une rupture brutale, mais une transition naturelle dans la manière dont les avocats abordent leur production juridique. La logique d’intégration n’est pas dictée par la mode, mais par un besoin très concret : gagner en efficacité sans renoncer à l’exigence du métier.

« Ce sont des outils qui sont utiles pour notre profession… et je pense qu’on va de toute façon être amenés à travailler avec eux. »

Dans cette perspective, Logan trouve sa place non comme substitut à la réflexion juridique, mais comme support rationnel d’une organisation plus fluide du travail. Il permet de décharger les avocats des tâches répétitives, de fiabiliser la structure documentaire, et de sécuriser la cohérence des actes, tout en laissant l’humain aux commandes des arbitrages de fond.

La valeur de l'outil réside dans sa capacité à s’adapter aux besoins concrets du cabinet, à s’intégrer à ses flux de travail, sans imposer une logique technologique étrangère à la profession. Pour des structures comme ISKA, fondées sur la réactivité, l’indépendance et la collaboration en réseau, ce type de solution permet de professionnaliser encore davantage la gestion des dossiers, sans perdre la flexibilité qui fait leur force.

Loin de la crainte d’une déshumanisation, c’est donc l’horizon d’une pratique augmentée qui se dessine, où les outils numériques, bien choisis, servent la mission de défense et de conseil plutôt que de la contraindre.

Variables intelligentes et édition connectée : des pistes pour aller plus loin

L’un des aspects les plus intéressants du retour de Sacha Ghozlan réside dans sa capacité à se projeter dans l’évolution de l’outil. En tant qu’utilisateur impliqué, il ne se contente pas de saluer ce qui fonctionne : il identifie des leviers d’optimisation qui pourraient renforcer encore l’efficacité de Logan, en particulier pour les cabinets en structuration.

Parmi les axes évoqués, la question des variables interconnectées revient en premier. Si Logan permet déjà de répercuter certaines informations à différents endroits d’un contrat (noms, montants, dates…), il imagine un système encore plus fluide, où les variables pourraient interagir entre elles :

« Il y aurait un vrai gain à pouvoir relier certaines variables. Par exemple, si je change le mois dans un document, que cela mette automatiquement à jour l’année à d’autres endroits. »

Ce type d’automatisation, à la croisée de l’édition juridique et de la logique paramétrique, permettrait de franchir un cap en matière de cohérence documentaire, notamment pour les actes longs, complexes ou régulièrement actualisés.

Autre suggestion : le lien direct entre la génération d’actes et la jurisprudence pertinente. Aujourd’hui, la consultation de décisions ou de références jurisprudentielles suppose d’aller chercher l’information à part. Sacha Ghozlan imagine un avenir où Logan pourrait proposer, au moment de la rédaction, des éléments contextuels issus de bases jurisprudentielles, sans avoir à importer un document tiers.

« Si la génération pouvait s’appuyer sur de la jurisprudence de manière native, sans avoir à importer un document, ce serait encore plus performant. »

Enfin, il pointe un frein potentiel à l’adoption : la résistance au changement d’environnement logiciel. Les cabinets sont habitués à des outils d’édition classiques comme Word, bien intégrés dans leurs habitudes de travail. L’adoption des LegalTechs, dont Logan, dépendra aussi de sa capacité à s’intégrer facilement dans cette routine logicielle.

« Ce qui peut freiner, c’est qu’on est habitué à Word. Il faut que l’expérience utilisateur soit fluide pour qu’on ait envie de passer par un outil différent. »

Ce retour montre que la posture de Me Ghozlan n’est pas celle d’un enthousiasme naïf, mais d’un praticien exigeant : Logan a sa place, à condition de continuer à s’adapter aux besoins concrets, aux usages du quotidien, et aux attentes d’une profession en pleine évolution.

Une adoption pragmatique, portée par une nouvelle génération d’avocats

Le témoignage de Sacha Ghozlan illustre une réalité encore peu visible mais déterminante : la transition numérique du droit ne viendra pas uniquement d’en haut, mais aussi des jeunes générations d’avocats, plus mobiles, plus autonomes, et déjà confrontées à des enjeux de structuration documentaire et d’optimisation des ressources.

Son approche de Logan n’est pas guidée par l’effet de mode ou l’innovation pour l’innovation, mais par une logique d’efficience et d’utilité réelle. L’IA générative devient ici une prolongation naturelle de la pratique, dès lors qu’elle permet de recentrer l’avocat sur son cœur de métier : analyser, conseiller, plaider.

Sans faire de promesses irréalistes, ni attendre une solution miracle, Me Ghozlan incarne une posture lucide et constructive : oui, Logan peut faire gagner du temps ; oui, il a sa place dans les routines professionnelles ; et oui, il mérite d’être testé, challengé, affiné.

« C’est un outil utile pour notre métier. On va tous devoir travailler avec ce type de solutions. »

En ce sens, ce cas d’usage ne se limite pas à un retour d’expérience : il est le reflet d’un changement générationnel en cours. Une nouvelle manière d’exercer, plus agile, plus outillée, mais toujours rigoureuse, où la technologie est un levier, jamais une finalité.

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Marion Ngo, Avocate en contentieux des affaires et procédures collectives, Associée — Ngo Jung & Partners

Olivier Pardo, Avocat en droit pénal et contentieux d’affaires, Associé fondateur – OPLUS

Gilles Grinal, Avocat, Associé fondateur — GKA & Associés

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