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Personnalisation, efficacité, rigueur : pourquoi Olivier Pardo, ténor du barreau, croit en Logan

Entretien avec Olivier Pardo,

Ancien magistrat, avocat en droit pénal et contentieux d’affaires.

Associé fondateur du cabinet OPLUS

La plateforme plébiscitée par les meilleurs professionnels du droit

Secteur

Contentieux & droit des affaires

Départements

Pénal des affaires | Contentieux civil & commercial | Juridique

Fonctionnalités

Génération de contrats | Modèles personnalisés | Vérification intelligente | Intelligence artificielle

Avec près de quarante années d’expérience au service de la justice, Olivier Pardo incarne une figure d’autorité respectée dans le paysage juridique français. Ancien magistrat, aujourd’hui avocat au barreau de Paris, il s’est illustré dans des affaires sensibles et à fort enjeu — aussi bien en contentieux d’affaires qu’en droit pénal économique. À la tête du cabinet OPLUS, il accompagne des entreprises, des États et des personnalités publiques dans la gestion de litiges complexes et de situations de crise.

Homme de méthode, attaché à la rigueur des procédures comme à la précision des textes, Olivier Pardo ne se revendique pas “technophile” par réflexe. Et pourtant, lorsqu’il découvre Logan, il y voit immédiatement un outil de modernité pertinent, à condition qu’il serve la pratique et non qu’il la remplace.

“ Ce que j’ai apprécié dans Logan, c'est d'abord sa simplicité, son accessibilité, le fait qu'on puisse personnaliser les contrats et ainsi créer des générations de modèles qui puissent être reprogrammés. Cela permet un gain de temps, mais aussi un gain de pertinence. ”

Olivier Pardo, Avocat en droit pénal et contentieux d’affaires, Associé fondateur du cabinet OPLUS

Dans un environnement juridique où les documents contractuels sont souvent le socle du litige autant que de l’accord, Logan s’impose à ses yeux comme une solution capable d’allier efficacité, vigilance juridique et souplesse rédactionnelle.

Ce cas d’usage retrace sa vision, ses attentes concrètes — et pourquoi, pour lui, l’intelligence artificielle a désormais toute sa place dans la pratique des avocats.

Personnalisation et gain de temps : un double levier pour les avocats de contentieux

Dans la pratique contentieuse, la rédaction contractuelle ne se limite pas à poser un cadre juridique : elle anticipe les litiges à venir. Un contrat bien structuré, clair, cohérent, peut éviter bien des malentendus — et donc des contentieux. À l’inverse, la moindre faille de formulation ou de logique interne peut, un jour, se transformer en ligne d’attaque.

C’est dans cette logique qu’Olivier Pardo identifie une valeur ajoutée immédiate dans Logan. Ce qui le frappe d’abord, ce n’est pas la promesse technologique, mais la capacité de l’outil à simplifier sans dénaturer, à industrialiser sans uniformiser.

En permettant aux avocats de créer leurs propres bases contractuelles, adaptées à leur style, à leurs clauses de référence et à leur logique rédactionnelle, Logan évite l’écueil de la “machine à contrat” impersonnelle. Il devient un copilote éditorial, qui fluidifie la production tout en respectant les réflexes professionnels.

“Cela permet un gain de temps et un gain de pertinence. Et surtout, ça permet d’éviter des écueils. ”

Le gain de temps, souvent évoqué dans le discours sur l’IA, prend ici une autre dimension : il libère de l’espace pour ce que la machine ne peut pas faire — l’analyse du rapport de force, la compréhension du contexte, la stratégie. Mais surtout, en structurant la rédaction autour de modèles éprouvés, Logan réduit le risque d’erreur ou d’oubli, ce qui dans le contentieux peut faire la différence entre une clause qui tient… et une faille exploitable.

Structurer, retrouver, vérifier : ce que Logan apporte aux cabinets orientés contentieux

Dans les cabinets à forte dominante contentieuse, la rédaction contractuelle n’est jamais un exercice isolé : elle s’inscrit dans un écosystème de modèles, de jurisprudence, de versions successives et d’analyses comparatives. Pouvoir générer rapidement un document n’a de sens que si l’on peut, dans le même mouvement, retrouver des précédents, adapter à des cas spécifiques et vérifier la cohérence globale.

C’est là que Logan, selon Olivier Pardo, prend tout son intérêt. Loin de se limiter à une “boîte à modèles”, l’outil permet une approche plus robuste, fondée sur la constitution de bibliothèques contractuelles intelligentes, mais surtout contextualisées :

« Logan nous permet à la fois de générer des contrats préétablis, d’accéder à une banque de données contractuelle, et en même temps de faire des vérifications adaptées à chaque type de contrat. »

Ce triptyque (génération, conservation, vérification — correspond parfaitement à la logique d’un cabinet comme OPLUS, où chaque clause peut potentiellement être confrontée à un juge. La rigueur documentaire n’est donc pas un luxe, mais une nécessité.

Dans les situations de crise, comme dans les litiges techniques (droit des sociétés, procédures collectives, contrats civils ou commerciaux), la capacité à exploiter un fonds documentaire en temps réel, à l’adapter aux particularités d’une affaire, puis à en vérifier la solidité sur des points sensibles devient un levier décisif. Logan permet à l’avocat de ne pas repartir de zéro, tout en conservant la main sur chaque formulation.

Cette autonomie, combinée à l’automatisation, redonne au cabinet un avantage stratégique : réactivité, cohérence, rigueur.

Un outil pensé pour le droit des affaires… mais pas uniquement

Lorsqu’on interroge Olivier Pardo sur les profils d’avocats qui pourraient bénéficier de Logan, sa réponse est à la fois ciblée et inclusive. Bien sûr, les praticiens du droit des affaires sont en première ligne : les contrats sont au cœur de leur quotidien, qu’il s’agisse de rédiger, de négocier ou de contester. Mais il élargit très vite la perspective :

« C’est évidemment pour les avocats en droit des affaires, mais aussi pour ceux en droit social… et, d’une certaine manière, pour toute une série d’avocats, parce que le contrat, c’est quand même la base de l’exercice du métier. »

Cette vision renforce l’un des postulats fondateurs de Logan : le contrat n’est pas qu’un acte juridique, c’est un langage partagé, entre avocats, clients, magistrats, et parties prenantes diverses. Dès lors, un outil qui permet d’en accélérer la rédaction, d’en renforcer la clarté, ou d’en vérifier la cohérence bénéficie à tous les professionnels qui en font un pilier de leur pratique.

Dans le monde judiciaire, cette transversalité est souvent sous-estimée. Pourtant, que l’on soit avocat en droit commercial, en droit social, en droit patrimonial, en droit pénal des affaires ou même en droit de la famille, le contrat est souvent le point de départ, ou le point de tension, d’une relation qui deviendra contentieuse. Et c’est précisément ce que Logan permet d’aborder autrement : structurer mieux, plus vite, avec des garde-fous intégrés.

Loin d’un outil réservé aux “dealmakers”, Logan est pensé pour tout avocat qui veut conjuguer précision, efficacité et sécurité juridique dans ses écrits.

Logan, un outil de modernité pour les avocats d’aujourd’hui

À l’écoute d’Olivier Pardo, une chose est claire : la modernité ne s’oppose pas à la rigueur. Elle en est même une condition, dès lors qu’elle est bien pensée et bien encadrée. C’est dans cet esprit qu’il recommande Logan à ses confrères, non comme un outil magique ou une rupture, mais comme un accélérateur intelligent, au service du métier.

« Oui, je recommanderais Logan. C’est un instrument de modernité, un instrument d’efficacité. Et donc, un instrument qui me paraît de nature à améliorer la vie des avocats dans le cadre de l’intelligence artificielle. »

Olivier Pardo, Avocat en droit pénal et contentieux d’affaires, Associé fondateur du cabinet OPLUS

Ce qui l’intéresse dans Logan, ce n’est pas la technologie pour elle-même, mais sa capacité à s’inscrire dans une logique juridique sérieuse, à s’adapter à des usages concrets, à accompagner l’avocat sans jamais l’absorber.

Son choix de mot, “instrument”, est révélateur. Il ne parle pas de plateforme, de solution, ou de robot : il parle d’un outil professionnel, pensé pour les exigences de son métier. Et il insiste sur un point essentiel : Logan est une IA spécialisée, pas une IA généraliste.

« Je dirais que c’est une nouvelle génération d’intelligence artificielle, plus spécifique que celles qui sont généralisées, et qui permet de s’adapter au métier du consensualisme. »

Dans la bouche d’un ancien magistrat, avocat de contentieux d’affaires, défenseur dans les procès les plus exposés, cette reconnaissance est loin d’être anodine. Elle signifie que Logan atteint ce point d’équilibre rare : assez puissant pour industrialiser des tâches complexes, mais assez souple pour s’inscrire dans les logiques fines du droit civil, commercial ou social.

C’est cette capacité à renforcer, sans remplacer, l’intelligence humaine du juriste, qui fait de Logan un outil que Me Pardo considère utile, et donc légitime.

Conclusion — La rigueur de l’expérience, le choix de la modernité

S’il y a bien une voix qui incarne à la fois la tradition judiciaire et l’exigence contemporaine du droit, c’est celle d’Olivier Pardo. Magistrat puis avocat, défenseur dans les dossiers les plus sensibles du contentieux économique, il incarne une pratique du droit précise, engagée, mais résolument pragmatique.

Son regard sur Logan est donc précieux : loin d’un engouement technologique naïf, il offre une validation fondée sur l’usage, la clarté des bénéfices, et la compatibilité avec la réalité du terrain. Logan n’est pas, selon lui, un gadget de plus dans la galaxie des legaltechs, c’est un instrument utile, qui permet de gagner du temps, d’éviter les écueils, de structurer des modèles adaptés et de sécuriser les bases documentaires du cabinet.

Mais surtout, il rappelle que le contrat est la matière première de nombreux contentieux : mieux le rédiger, c’est déjà mieux plaider. Dans cette optique, Logan devient un allié logique pour tous les avocats qui veulent conjuguer efficacité, vigilance et autorité juridique, sans sacrifier leur méthode ni leur rigueur.

« C’est un outil de modernité. Et donc, un outil qui me paraît de nature à améliorer la vie des avocats dans le cadre de l’intelligence artificielle. »